Le bon démarrage des cultures amorcé depuis ces dernières semaines peut laisser présager des tendances positives sur les rendements dans les mois à venir. Un démarrage notamment encouragé par des conditions météorologiques plutôt favorables pour le développement des plantes, dont la quantité et la qualité doivent être préservés et maximisés jusqu’aux récoltes. Les prochaines semaines seront donc clées pour maintenir les rendements espérés.
La météo douce de ce printemps a entraîné des développements précoces sur l’ensemble des cultures. En témoignent aujourd’hui les premiers signes de floraison, et par conséquent un premier aperçu du potentiel de rendement pour cette saison.
En effet, si les conditions favorables rencontrées jusqu’alors ont permis d’assurer le bon démarrage des cultures, il reste essentiel d’assurer dès maintenant ce potentiel pour maintenir un bon niveau de rendement. Une stimulation régulière et continue du métabolisme des plantes permettra ainsi de maintenir leur bon état physiologique. Plus vigoureuses face à des variations climatiques plus ou moins intenses, elles exprimeront ainsi mieux tout leur potentiel.
La floraison, une étape déterminante pour le rendement
Certains stades restent déterminants et critiques dans l’élaboration du rendement. La floraison est ainsi une étape cruciale au cours de laquelle la fécondation et le taux de nouaison permettront de déterminer le potentiel de votre parcelle.
Il est donc primordial de stimuler vos cultures lors de cette floraison, où les impacts peuvent être les plus lourds, en assurant notamment une robustesse suffisante pour faire face aux variations climatiques. Si les conditions climatiques sont trop brutales c’est tout un cycle qui sera perturbé : le rendement sera non seulement impacté pour cette saison mais aussi probablement pour l’année suivante – notamment pour des cultures comme la vigne où le cycle reproducteur s’établi sur 2 ans. On estime ainsi à près de 50% les pertes de rendement liées à ces stress abiotiques.
Favoriser les rendements grâce à Biosmart et Moka, les nouveaux biostimulants d’Agrauxine by Lesaffre
Pour apporter une réponse aux producteurs dans la réussite de leurs campagnes, Agrauxine a développé Moka et Biosmart. Deux nouveaux biostimulants pour booster le métabolisme des plantes, spécifiquement conçus et adaptés aux physiologies de la vigne, des cultures arboricoles et maraîchères.
Grâce à sa formulation à base d’extrait de levure, Moka favorise l’assimilation des éléments nécessaires au bon développement des plantes, tels que les acides aminés libres et les vitamines. En application durant la nouaison, il favorise à la fois la division et l’expansion cellulaire, mais également la production d’assimilas. Moka assure ainsi une meilleure croissance des fruits tant sur le rendement quantitatif que qualitatif (production homogène, calibre des fruits plus important, augmentation de la teneur en N assimilables et composés phénoliques…). Cet apport en extraits de levure stimule également l’activité photosynthétique permettant d’améliorer la vigueur des plantes.
Biosmart doit quant à lui être appliqué aux stades de grappes séparées, puis à la floraison. Son action permet de limiter l’impact des aléas climatiques, notamment lors de la méiose ovulaire – étape cruciale pour la fécondation au moment du passage du stade végétatif à reproducteur. En limitant l’avortement des fleurs, il assure donc une floraison plus homogène.
Les étapes de fructification, primordiales dans l’élaboration du rendement, sont ainsi préservées face aux risques et apportent de nombreux bénéfices aux cultures :
- Des réponses positives sur les composantes du rendement :
- Biosmart :
- +9% du poids des grappes
- – 10% d’avortement des baies
- Moka :
- +8% du poids des baies
- +15% du poids des fraises et des tomates
- Biosmart :
- Amélioration des critères de qualité :
- Meilleure couleur des fruits
- Réduction de la perte de poids après stockage
- +10% de la teneur en azote assimilable dans le moût