La période hivernale est idéale pour anticiper et préparer vos interventions de printemps sur colza. Au regard d’une campagne 2021 marquée par son hétérogénéité, sur quelles solutions miser pour assurer le bon développement de vos cultures, et favoriser vos rendements pour la prochaine campagne ? Bilan et retours d’expérience sur cette dernière campagne.
Marqué par de fortes disparités à l’échelle territoriale, le rendement national de cette dernière campagne de colza n’en est pas resté pour le moins satisfaisant. Selon les derniers chiffres de FranceAgriMer, Arvalis et Terres Inovia, il s’élève à 3,3 Mt, soit plus de 35 q/ha. Des chiffres constants au regard de ceux enregistrés lors de deux dernières années, et qui dépassent les espérances. En effet, avec une diminution de 15% des surfaces consacrées au colza cette année, le potentiel de cette campagne semblait revu à la baisse.
Pour autant, au-delà du volume, c’est également la qualité des grains qui a été favorable à cette récolte de colza. Malgré des attaques de ravageurs persistantes et des conditions climatiques peu favorables aux critères de développement des siliques, les étapes clés d’élaboration du rendement telles que la nouaison et le remplissage des grains ont pu bénéficier d’une météo favorable. Pour Pierre HEYSCH – Ingénieur de promotion Agrauxine dans le Nord-Ouest – la campagne 2021 a observé de bons rendements, notamment sur les territoires des Pays de Loire, Centre-Val de Loire et Normandie, qu’il accompagne : « Malgré de nombreux épisodes de gel, les cultures ont généralement bien compensé avec notamment des périodes de floraisons et des grossissements de siliques très longues – dues à une météo très douce – ce qui a décalé les récoltes par rapport aux années précédentes ».
Des conditions salutaires, en amont de la moisson, qui ont notamment permis d’obtenir une teneur en huile située dans la moyenne des dernières années.
Si la récolte nationale a généralement été bénéfique aux producteurs de colza, chaque campagne reste néanmoins toujours impactée par les variations de température ou le manque d’eau, qui entrainent alors des pertes de rendement. Face à ce risque et ces aléas, certains agriculteurs ont sécurisé leur rendement dès la floraison, à travers l’utilisation de biostimulants afin de limiter l’avortement des siliques.
À l’instar de Guillaume, agriculteur en polyculture-élevage dans le Maine-et-Loire. Utilisateur de biosolutions depuis 2 ans, il se laisse convaincre par son conseiller technique du potentiel de Smartfoil® , en phase de test tout d’abord. Un produit de biostimulation qui semble correspondre à ses attentes puisqu’il promet un gain de rendement, pour un investissement raisonnable, et facilement utilisable en co-application avec d’autres produits. Si le producteur de colza n’a pas remarqué de différence visuelle en phases de développement, le résultat lors de la récolte à quant à lui été sans appel : « J’avais partagé la parcelle en deux, avec une zone non traitée. […] À la récolte, l’entrepreneur et moi-même avons constaté une différence très nette entre les 2 zones, lors du remplissage des remorques : environ 15% de rendement supplémentaire (soit 5-6 qx/ha de plus) sur la zone traitée avec Smartfoil® ». Plus encore que l’efficacité du biostimulant sur ses cultures de colza, c’est la facilité d’utilisation du produit qui a séduit le producteur : « Le produit se mélange bien dans la cuve, et les bidons se rincent facilement après usage. J’en ai commandé de nouveau pour mes cultures de colza de l’année prochaine. Un seul conseil aux agriculteurs : essayez-le ! ». Un bilan positif sur cette première utilisation de Smartfoil® , qui accompagne les agriculteurs dans l’évolution de leurs pratiques culturales, tout en conservant la rentabilité de leurs productions.
Pour préserver la volume et la qualité de vos rendements de colza, misez vous aussi sur le biostimulant Smartfoil® dès la prochaine campagne 2022. Contactez nos équipes pour trouver le distributeur le plus proche, ou demandez directement votre solution Smartfoil® à votre distributeur habituel.
Sources données : Terre-Net / La France Agricole / Plein Champ
