Vendanges : un bilan mitigé. Pourquoi miser sur les biostimulants Agrauxine ?

Crédits images : Agrauxine

La saison des vendages est désormais terminée, et l’heure est maintenant aux bilans. Si la qualité et la quantité des grappes étaient globalement au rendez-vous cette année, de fortes disparités ont néanmoins été constatées selon les bassins de production – principalement dues à des conditions climatiques hétérogènes. Pour anticiper ces aléas et favoriser la réussite de leur récolte, certains viticulteurs s’étaient alors tournés vers des solutions de biostimulation.

Les premières températures élevées de l’été promettaient pourtant un beau tonnage. Mais quand bien même la vigne aime la chaleur, les vagues de canicule estivales n’ont pas épargné le bon développement des grappes. Le résultat ? Des baies souvent plus petites et moins nombreuses, victimes de la sécheresse, ainsi que des effets négatifs sur la qualité des moûts.

Ces aléas climatiques, désormais récurrents pour les viticulteurs, ont cette année poussé à avancer les récoltes, jusqu’à 2 semaines parfois. Un calendrier qui n’a pas été sans incidence sur le rendement national, estimé à 44,1 millions d’hectolitres au 1^er octobre*.

Pour pallier ces risques, certains viticulteurs ont anticipé dès le stade de grappes séparées l’application de biostimulants, qui n’ont pas été sans porter leurs fruits. Les utilisateurs de la solution Biosmart ont ainsi bénéficié en moyenne d’une augmentation de 18% du poids de leurs grappes. Une croissance qui s’explique notamment par le fait que le produit favorise une floraison homogène, en facilitant le bon déroulement de la méiose ovulaire.  Biosmart uniformise ainsi le développement des baies et limite l’impact des stress abiotiques.

Un faible rendement qui ne retire rien à la qualité du moût

Mais plus encore que la quantité, c’est tout autant la qualité des cépages qui fera ici la différence de ce millésime. Et sur ce point les experts s’accordent : cette qualité sera bien au rendez-vous !

Pour autant là encore des disparités territoriales sont observées, notamment sur le pinot noir, le chardonnay, le grenache ou encore le sauvignon, particulièrement touchés. Pour favoriser l’homogénéité de cette qualité, Agrauxine by Lesaffre a ainsi développé Moka. Ce biostimulant agit sur la division et l’expansion cellulaires des baies, favorisant ainsi leur développement quantitatif (+9% de croissance) et qualitatif.

En effet, des analyses de moûts ont démontré que Moka permettait d’augmenter de 18% la quantité d’azote assimilable dans les moûts. Une teneur en azote plus importante qui permet de favoriser le processus de fermentation, et donc la qualité in fine des vins.

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