facebook Twitter Twitter Site internet Agrauxine

Quels sont les différents facteurs de stress abiotiques en agriculture ?

Variations de température, sécheresse, gel, vent… Les aléas climatiques ne cessent d’impacter les agroécosystèmes et le développement des cultures, laissant alors planer quelques doutes sur la qualité des rendements. Quel est alors l’impact de ces stress abiotiques sur les cultures ?

Qu’est-ce que les stress abiotiques ?

Les stress abiotiques sont provoqués par des changements ou des conditions environnementales extrêmes tels que la sécheresse, les variations fortes de température, le gel, le vent, la grêle, l’excès d’eau, un fort taux de salinité… Ces variations climatiques déstabilisent l’environnement des cultures et génèrent alors des stress qui impactent la productivité des plantes, principalement au cours de périodes sensibles comme la floraison et la nouaison.

De lourdes conséquences pour les rendements

Les vagues de canicule successives rencontrées cet été témoignent de l’impact de conditions agroclimatiques extrêmes sur les rendements. Des périodes de sécheresses qui semblent amenées à se répéter d’année en année. À cela, s’ajoutent des stress plus légers comme par exemple des variations fortes de températures durant une même journée, auxquels les plantes doivent faire face tout au long de leur développement et qui peuvent néanmoins avoir de lourdes conséquences sur les cultures…

On estime alors que 50% des pertes de rendements sont liées aux stress abiotiques. Ces aléas climatiques impactent le métabolisme des plantes, pouvant alors conduire à l’avortement des fleurs ou un développement irrégulier des fruits. Plus encore, ces stress abiotiques peuvent intervenir à différents stades du développement des cultures et ainsi provoquer plusieurs vagues de pertes :

  • À la levée,
  • Durant le développement végétatif,
  • Lors de la phase reproductive, la plus critique, pouvant entrainer des pertes significatives de rendement.

Les biostimulants, des outils pour lutter contre l’impact des stress abiotiques

Une partie des dommages rencontrés lors de la floraison peut ainsi être imputée aux stress abiotiques. Alors comment limiter l’impact de ces stress abiotiques sur les cultures ?

Si les biostimulants ne sont pas la seule solution, ils constituent néanmoins une excellente réponse pour augmenter la tolérance des plantes face à ces aléas climatiques afin de limiter les pertes de rendement.

Smartfoil, des résultats prouvés

David Faucheux, agriculteur basé à Lutz-en-Dunois (28), cultive du blé, du colza, du maïs, de l’orge, des protéagineux et de la betterave sur 300 hectares.

Face à la disparition de certains produits phytosanitaires et à l’apparition de nouvelles solutions, nous cherchions une alternative qui permettait de lutter contre les stress abiotiques, tout en limitant les coûts d’arrosage. Les résultats avec Smartfoil ont été très satisfaisants car nous avons observé une différence de rendement de +3 quintaux entre les parcelles avec et sans application du biostimulant.


Les produits de biostimulation apportent aux plantes une meilleure résistance face aux impacts de la sécheresse, des variations de température du gel, du vent… lors de la floraison. Une sécurité supplémentaire pour limiter l’avortement des fleurs et accroître la quantité mais également la qualité du rendement.